Ils sont beaux.
On se retourne sur leur passage. Raoul est grand, mince, le crâne
rasé. Il peut avoir 25 ans. Il est chercheur en informatique et
micro technique.
Nadine est toute fine, la peau brune et les
cheveux noirs. Elle danse. Elle est toute jeunette encore, vêtue
d’un mouchoir de tissu qui cache juste ses fesses plates et ses
minuscules seins.
Ils s’aiment et font l’amour aussi
souvent que possible. Plusieurs fois par jour. Avec fougue.
Mais Raoul est inquiet.
Il se demande s’il lui suffit. Pourtant
il n’est pas timoré, au contraire. Il a un sexe vigoureux et
long. De belles couilles qui pendent bien. Et il comble sa copine,
la caresse avec art et amour. Nadine jouit toujours très fort. Elle
affirme être comblée. Mais elle est si vite remise, si souvent
demandeuse que Raoul devrait la baiser en permanence.
Que fait-elle en son absence ? Il l’a
souvent surprise à se masturber. Il la gronde, affirme qu’il
arrive. Et c’est chaque fois le grand tourbillon.
Un jour, en passant devant un magasin de
sexe, elle lui demande d’acheter un vibro. Il est un peu vexé
tout de même, mais s’incline. Aussitôt rentré, ils baisent.
Deux fois, trois fois. Puis Nadine prend le vibro et s’envoie en
l’air encore trois ou quatre fois. J’ai mon compte, enfin. Et
elle s’endort. Oui, Raoul est inquiet, et pas vraiment content.
Quelques jours plus tard, en rentrant, il
la trouve morose. Elle est nue sur le lit, le vibro, qui ne
fonctionne pas, à la main. Elle le passe entre les fines lèvres de
son sexe, accrochant au passage le petit anneau qui lui traverse le
clitoris. Raoul ne voulait pas qu’elle se fasse percer à cet
endroit. Mais il a cédé, comme pour le reste.
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