Ceci est une
petite histoire vraie survenue durant nos vacances, en août 1999.
Nous fréquentons la plage de l'Océans, à Anglet, près de
Biarritz.
C'est une grande plage sympa où le
naturisme est toléré : textiles et nudistes se répartissent
spontanément dans les parties droite et gauche. Malheureusement les
douches en haut de la plage sont pour nous du "mauvais côté"
celui où le maillot est en usage, au moins formellement.
La première fois, sortant de la mer, nous
avons fait l'effort de retourner à nos serviettes pour passer à
contrecour un slip de bain, réduit pour Valérie, qui refuse une
plus ample concession à la pudibonderie, à une simple string qui dégage
largement ses fesses dorées et ne couvre que la partie centrale de
son mont de Vénus. Ma jeune femme quoique très libre de son corps
n'aime pas choquer et moins encore s'exhiber.
Sous la douche installée à l'air libre et
la vue de tous, elle m'a étonné en retirant immédiatement sa
culotte : "désolée, je trouve cela tellement ridicule de la
garder et puis le sable. Fais comme moi s'il te plaît, je me
sentirai moins originale".
Je m'exécute non sans noter le regard amusé
et vaguement intéressé de la jolie jeune femme qui sous le pommeau
voisin se débat avec son une-pièce. Elle en a abaissé le haut, révélant
d'adorables petits seins assez semblables à ceux de Valérie, et l'écarte
précautionneusement de son corps pour laisser ruisseler l'eau : la
manouvre ne semble réussir qu'à moitié car elle ne parvient pas
à se débarrasser du sable qui s'est insinué entre la peau et le
tissu.
Elle nous sourit et nous adresse la parole
: "Eh bien vous au moins vous vous prenez pas la tête !".
Cherchait-elle un encouragement ?
Valérie le lui donne bien volontiers :
enlevez-tout, vous verrez, ça fait drôle et la douche est beaucoup
plus efficace... Notre voisine hésite; "dans le vestiaire des
filles, j'hésite pas mais là.
Pour la suite veuillez composer le
|