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Voici
une brève histoire qui pourrait être la nôtre. Lors d’un de mes
voyages d’affaire pour un congrès a l’extérieur de la ville,celui ci
m’a permis de te rencontrer et de vivre une expérience que toi comme
moi n’oublierons jamais.
Ma valise déposée, je me faufile jusqu’au fond
du bus pour me retrouver assis a côté d’un homme d’un certain âge.
En face, près de la fenêtre se trouve une dame et à ses côtés,
vis-a-vis moi une jolie fille et c’est toi, dont la silhouette par des
regards furtifs en sa direction m’absorbe et ne cesse de m’envahir
l’esprit.
D'un bref coup d'oeil autour de nos deux voisins
je constate qu’ils sont assoupis. La nuit tombante avec un éclairage
des plus tamisés, j’apercois difficilement si tu es éveillée ou dans
un état second. Rien ne m’empêche à partir des formes de ta
silhouette de t’imaginer en sous vêtements des plus suggestifs. Mon
esprit, que dis-je, mon imagination n’est absorbée que par toi. Je sens
en moi monter une douce chaleur qui ne tarde pas a atteindre le bas de mon
ventre. Pour tenter de me contrôler et de calmer mes ardeurs qui se font
de plus en plus envahissante, je change de position et tente de
m'installer un peu plus confortablement.
Ce faisant ma jambe vient en contact avec l’une
de tes jambes. Cet effleurement banal, malgré sa subtilité ne fait
qu'aggraver mon état; j'observe ta réaction, rien n’y parait, soit tu
dors, soit tu feins de n'avoir rien senti. Ce contact accidentel me donne
des idées et j'accentue ma pression en glissant ma jambe entre les
tiennes. Qu'elle ne fut pas ma surprise de les sentir s'écarter lentement
dévoilant plus largement le haut de tes cuisses. Je ne m'étais pas trompé
tu portes bien des bas jarretelle, dans la pénombre il me semble, je
n’en suis pas sur, que tu as entrouvert les yeux. Je tente de croiser
ton regard mais n'y parviens pas. Du bout de mon genou que j’étire de
plus en plus, je te caresse maintenant les cuisses; Discrètement tu te
laisses glisser légèrement sur la banquette rapprochant ton ventre de
mon genou. D'un mouvement habile et presque imperceptible tu retires une
de tes chaussures et déposes ton pied sur ma banquette entre mes deux
cuisses. Tout à coup, sans avertissement, tu fais courrir tes orteils
contre ma braguette en une délicate caresse. Je dois me retenir pour ne
pas jouir de cette simple mais si merveilleuse attention.
Pour vivre et
lire le
reste
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